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E. Arthur Hermès
E. Arthur Hermès
"Cause I'm a nightmare dressed like a daydream" - Bizut
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Arrivé le : 17/02/2016
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(#) Ven 26 Fév - 16:02



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Qu’est ce que t’es censé faire. Accepter d’être aussi lâche. De virer les gens qui tiennent à toi ? Tu dois t’excuser de vouloir les protéger de toi, de ton mal-être constant qui te force à rester seul. Mal-être qui envahit chaque recoin de ta vie, depuis toujours. Le plus jeune âge, tu n’étais pas bien, tu ne voulais pas être comme tout le mode. Difficulté à rester dans cette case sauvagement remplie pour toutes les personnes de ton rang. T’es riche, Hermès.  Envoyé loin de chez toi. Terre natale que tu as dû quitter pour pouvoir changer d’air. Respirer ailleurs qu’en France où tu n’arriverais à rien. L’impression d’être en trop, toujours. Tout le temps. L’impression de ne pas être compris. Comprendre que qu’on ne pourra jamais te comprendre. Tu es comme ça. Tu l’as appris, tu le sais. Tu respires longuement. L’air frais qui remplit tes poumons crades. Poumon salis par toutes tes merdes inhalées. Tu avances, pas rapide. Tu ne sais pas ce que tu fais. Tu ne devrais pas. T’es pas censé faire ça. La voir, t’excuser. Non. Tu ne t’excuseras pas d’être toi. Tu devrais ? Tu ne sais pas. Tu voudrais ne pas avoir à chercher si tu es capable ou non. Tu ne veux savoir, ta raison d’y oblige. Ton conscient refuse. Pourquoi chercher. Pourquoi comprendre. Tu luttes contre toi même. Tu luttes contre sézig. Le pas rapide, déterminé. Tu fermes presque les yeux. Concentré à ne pas te concentrer sur ce que tu es en train de faire. Les marches de l’immeuble grimpées, une à une. Deux par deux. Tu appuies sur cette sonnette. Tu regrettes. Pourtant tu restes la. Figé, statique. Pars, tant qu’il est encore temps. Casse-toi tant qu’elle ne se retrouve pas en face de toi. Tant que ton regard n’heurte pas le sien. Trop tard. Too late. Prunelles azur mélangées à sa couleur bronze qui ne te lâche pas d’une semelle. Tu sens que c’est froid. C’est glacial. Entre vous, dans l’espace de cette entrée. Tu veux rentrer. Maintenant, avant que tu ne décides finalement de céder qu’a ta raison plutôt qu’écouter ton cœur. Tu n’as pas besoin de parler. Tu ne veux pas parler. Pour quoi faire ? Elle sait ce qu’elle veut, tu le supposes. Tu es la pour la voir, pas pour trainer les pieds sur un pas de porte. Tu rentres, finalement. Gentiment. Presque timide. Paradoxe. Arthur et ses multiples faces. La colère, la haine. Rage. Le calme, le contrôle de toi même. Facettes pour protéger l’intérieur, si fragile. l'intérieur dont tu as honte. Que tu n’assumes pas, jamais. Trop compliqué. Énigmatique dont l’algorithme te paraît si indescriptible, pour toi même. Tu te retournes vers elle, un sourire sur les lèvres. Belle. Tu ne pourrais pas te passer de son visage. D’elle, sa voix, sa façon de te montrer qu’elle t’en veut sans arriver à s’en persuader elle même. Tu tiens à elle, trop même. Elle est essentielle à tes yeux, indescriptibles. Impossible de chercher pourquoi tu es si attaché à ce petit bout de femme. Tu ne lu diras jamais. Les mots sont trop peu sincères face à l’excès d’admiration que tu lui apportes. Juste elle. Il te suffirait juste d’un peu de son sourire pour être heureux. Si peu, étrangement bien trop pour le gars que t’es. Te retiens pas d’me le dire. Dégager. Comme tu as pu la rejeter, sans scrupules. Sans aucun intérêt. Vulgaire torchon, jeté. Que tu n'es qu'un pauvre con, que tu seras toujours. Imbécile. Tu souris, provocateur. Comme à l’habitude.

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Alexis Ivy Lancaster
Alexis Ivy Lancaster
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Ce qu'il faut savoir sur moi :
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LENNY : Il te trouble. Il est ton tuteur. Il te détestait puis a fini par apprendre à te connaitre entre deux prises de tête sur la biologie. Il t'a amené en tant que cavalière à la soirée de la Saint-Valentin. Et tu te laisserais tenter par une histoire sérieuse avec lui même si au fond tu as peur qu'il t'utilise. • ARTHUR : ton meilleur ami d'enfance. Tout est parti d'un porte-clé trouvé sur la plage. Probablement ton âme soeur. Tu ferais tout pour lui. Prête à tout pour ses yeux bleus car tu ne vois pas ta vie sans lui. Tu lui fais entièrement confiance. Si tu es amené à tuer quelqu'un, c'est lui que tu appelleras pour t'aider à enterrer le corps. • LIAM : Ton premier amour. Tes premiers sentiments. Ta première histoire. La première fois que tu as eu le coeur brisé. Une amourette de vacances dans laquelle tu t'es complètement abandonné pour te ramasser. Il est parti sans te donner aucune nouvelle. Tu lui en veux. C'est à cause de lui que tu n'as jamais réussi à vraiment ouvrir ton coeur. • CASEY : Un ami de ton père, un mafieux lui aussi. Tu ne le connais pas beaucoup. Tu le remercies de t'héberger et de ne pas te laisser dans les dortoirs miteux de l'université. • PRIAM: C'est le mec qui te fait découvrir son monde. Loin des palaces et des restaurants quatre étoiles, il t'emmène visiter la ville comme tu ne l'as jamais vu. Il te chamboule, il bouleverse tes habitudes et tu en as besoin. • KAIDANROMEO : Tu es sortie avec lui ta première année à l'université. Tu voulais te faire une image et utilisé son nom de famille mais tu as vite compris qu'il cachait pas mal de choses. Tu lui as fait du chantage pour qu'il reste avec toi, tu avais besoin de te construire une réputation. Maintenant tu t'en veux. • ALEJANDRO

JULIETWILLOWSKYLERVICTOIREMEADOWZELIE

a grandi dans les beaux quartiers de Beverly Hills • 1ère année en medecine (mineur langues vivantes), elle a recommencé un cursus à l’université après avoir déjà fait deux ans de journalisme • elle est entrée à Princeton en 2012 pour entamer un cursus de journalisme • elle était une Tower • gosse de riche pourrie gâtée, elle était manipulatrice et impitoyable • elle a perdu sa mère alors qu'elle n'avait que six ans • quand elle est en deuxième année, un scandale éclate : son père s'avère être le parrain californien à la tête d'un réseau de mafieux qui sévit depuis 20 ans • sa réputation en prend un coup • ses comptes en banque sont gelés • elle devient la risée du campus • elle perd tout et fuit le campus • en septembre 2015 elle revient à Princeton pour se donner une seconde chance • elle est pauvre et doit enchainer deux boulots pour survivre • elle squatte chez Casey, un ancien ami de son père • elle est bien loin de la fille qu’elle était avant de partir : elle se cherche, elle expérimente et elle retrouve confiance en elle • elle ne couche que si elle a des sentiments • elle a perdu sa virginité à l’âge de seize ans avec Liam qui lui a brisé le cœur • elle garde une âme d’enfant et est en manque d’affection et de reconnaissance •
Spoiler:

(#) Ven 26 Fév - 17:52


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ALEXURFORTHEWIN


Tu prends le temps d’enfiler ton pull. Doucement. Timidement. Tu grimaces. Il effleure ta peau légèrement. Une sensation qui te fait frémir. Le moindre contact avec ta peau te fait mal. Ton dos, ton ventre, tes côtes, tes épaules, tes cuisses. Ton corps meurtri. Ton corps marqué par des hématomes. Certains plus récents que d’autres. Ils sont la trace de ta fragilité. Ton innocence que ce connard te vole davantage à chaque fois qu’il t’attend à la sortie de ton travail pour te frapper. Depuis dix jours maintenant. Il n’a pas supporté qu’Arthur le tabasse cette nuit-là à la course. Il a fini à terre en sang sans pouvoir rendre les coups. Alors maintenant il s’en prend à toi. Sauf que toi, tu n’es rien. Tu ne peux pas te défendre. Il le sait. Il en profite. Chaque coup est plus fort. Plus intense. Plus douloureux. Il a réussi à effacer ton sourire et ta volonté de t’en sortir malgré les épreuves que tu as déjà subies. Tu pensais avoir vu suffisamment de choses mais finalement c’était rien. Tu en as la preuve maintenant. Un regard dans le miroir ne fait que te rappeler qu’à présent tu passes plus de temps dans la salle de bains le matin. Tu cherches à couvrir les traces sur ton visage. Tu ne veux pas que ça se sache. Tu te renfermes. Tu ne parles plus à personne. Tu ne manges quasiment plus. Tu as perdu du poids. Tu ne dors plus beaucoup. Tes nuits sont rythmées par son visage qui te roue de coups. Ta solution miracle est le maquillage et la solitude. Tu as dit à Lenny que tu étais malade. Tu ne veux pas sortir. Tu ne veux voir personne. Tu veux juste t’emmitoufler sous ta couette et essayer de te reposer. Puis tu entends la sonnette. Tu hésites. Tu ne veux pas affronter le monde réel. Tu ne veux pas que quelqu’un te voit dans cet état. Tu t’assures que ton fond de teint cache les quelques traces que tu as sur le visage. Tu descends ton pull –trop large pour toi- jusque ta taille pour t’assurer qu’aucun bout de ta peau n’est visible puis tu t’avances vers la porte. Tu pries pour que ce soit simplement le facteur ou une erreur. Plus vite cette porte sera fermée, mieux tu te sentiras. Arthur. Devant toi. Devant ta porte. Après deux semaines, le voilà qu’il réapparait. Tu es soulagée de le savoir toujours en vie. Tu avais peur d’apprendre qu’il avait fait une connerie et qu’il avait fini par crever durant l’une de ses courses de voitures. Tu n’aurais pas supporter. Le voir là devant toi te gêne. Tu lui en veux. Terriblement. Tu n’as pas envie de lui parler. Tu ne veux pas qu’il te voit. Tu veux encore moins qu’il sache ce qu’il se passe dans ta vie. Mais tu refuses de le voir partir. Il a fait le premier pas. Il est revenu vers toi. Peut-être que finalement il a besoin de toi. Un peu. Suffisamment pour se pointer chez toi après deux semaines. Tu ne parles pas. Tu attends de voir s’il va repartir. Avec lui, ça ne te surprendrait même pas. Mais il bouge. Il rentre. Tu le regardes faire. Tu as peur. Peur de cette conversation. Peur de ce qu’il va dire. Tu ne veux pas qu’il te rejette encore une fois. Le simple fait de le voir te fait te rendre compte que tu as besoin de lui. Surtout en ce moment. Tu as besoin de savoir qu’il est là, qu’il te soutient et qu’il ne t’en veut pas. Il te sourit. Sa chaleur t’enveloppe. Tu as tellement besoin de lui. Ces deux semaines ont été un enfer sans lui. Mais il ne va pas s’en sortir comme ça. Et il le sait. « T’es un pauvre con Arthur. » Tu ne souris pas. Ton visage et ton regard sont froids. Il t’a fait mal. Il t’a dégagé. Il t’a fait comprendre qu’il ne voulait pas de toi. Mais c’est dur. Dur de lui en vouloir. Il est là, en face de toi. Tu ne peux pas lui donner des raisons de repartir. Tu ne veux pas qu’il reparte. « Ravie de voir que tu n’es pas mort. » Tu baisses les yeux et un léger sourire se dessine sur tes lèvres timidement. Tu ne peux pas lui en vouloir. C’est trop dur. Tu sais qu’il est comme ça. Ce n’est pas la première fois que vous vous engueulez à cause de sa connerie. Finalement Arthur est peut-être ta solution miracle. Il arrive à te décrocher un sourire alors que tu passes ces derniers jours à éviter tout contact avec les gens. Sa simple présence peut te satisfaire, te faire oublier cette douleur physique qui te consume à petits feux.  


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E. Arthur Hermès
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(#) Dim 6 Mar - 14:36



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T’es mal. D’être devant elle, tout en étant toi même. Tu lui fais du mal, tu le sais, elle le sait, probablement pas autant que tu l’aimerais. Souffrance totale, comme si en voulant lui échapper, l’empêcher de se cogner dans un mur par ta faute, tu empires les dommages. Récidives à ce que tu fuis pendant des jours, deux semaines. Compté les heures, minutes. Les jours. Le temps a pris ta patience. Dégagé, tu l’as repoussé la dernière fois, quand tu t’es montré totalement violent face à ce type, incontrôlable. Tu arrives encore à te souvenir de la douleur ressentie dans tes mains après coup. Après avoir sonné la jalousie, la grande importance que tu portes à cette femme. Une haine rouge, noire. Puissante. T’en connais pas la couleur, tu sais qu’elle est là. Cette boule de rage, enfermée en toi. Prête à exploser à tout moment critique. Contre n’importe qui. Tu as déjà fait fuir une fille, à cause de ça. Ta meuf, de l’époque. Celle que t’aimais. Pas question de refaire le même topo, de faire peur à Alexis. T’es un pauvre con Arthur. Tu baisses ton regard, sur le sol. Une phrase connue, qui sonne comme un écho. Combien de fois on te l’a répété, pour te le faire comprendre. T’obliger à cerner ta propre connerie, ton caractère de pauvre fou. Un con. T’est-ce que ça finalement. Tu le sais. Est ce que t’en ai fier ? Difficile à dire. D’assumer. Tu as fui ce que t’étais pendant bien trop longtemps. Arthur, le con. Ravie de voir que tu n’es pas mort.Parfois t’aimerais. Partir, loin. Pour de vrai, ne pas pouvoir revenir, hanter les vivants. Fantômes de toi-même, t’as décidé d’enterrer ta propre âme au fond du jardin que t’as jamais eu. Être insensible. S’en foutre de tout, des autres. De l’amour qu’on peut te porter sans que tu ne le cherches vraiment. C’est masochiste de s’intéresser à toi, de t’approcher, de trop près. Fleur du désir, la rose piquante. Sans aucun parfum, si ce n’est l’amertume de tous les êtres humains qui ont défié l’insouciance à être ton pote, juste à le penser. T’es mort. Ton cœur s’est éteint, en sommeil, laissant encore quelques petits mouvements suffisant pour vivre, pour t’accrocher à elle. Tu sais que j’suis doué pour rester en vie. Tu ne vis pas. Tu survis. Tu l’observes, tout entière. Son corps fragile. Qui semble bien plus frêle que d’habitude. Le teint pâle. Un sourcil froncé, face à ton questionnement. Ton inquiétude. Elle est malade ? Tu culpabilises. C’est toi, peut-être. Tu ressens une vague de chaleur dans ton corps, ton sang qui se fige aussi vite qu’il n’a fait le tour de ton système sanguin. Tu te rapproches d’elle, gentiment. Le bout de ton doigt qui soulève son menton. Visage en face du tien. Terne. Sans profondeur. Cette distance qui te sépare du vide, son regard fermé. Elle n’est pas la même. C’est pas Alexis. Ton regard intense dans le sien. Comme pour l’analyser, fouillé dans ce qu’elle devrait te dire, qu’elle ne te dit pas. Pour pas t’inquiéter, pour ne pas t’en mêler. Comprendre, ce qui te pense à justement te foutre dans ce qui te regardes pas. T’aurais vraiment dû venir habiller comme ça l’autre soir. Tu ricanes légèrement. Gardant ton corps, si près du sien. Mains viriles qui glissent le long de ses épaules dans une caresse improbable de ta part. Cette pression sur ses épaules, possessivité. Son gros pull t’aurait évité bien des merdes. T’es qu’une grosse têtue Alexis. L’mafieux chez qui tu vis devrait t’apprendre à reconnaître les mauvais types. C’toi, l’mauvais type. Elle ne le capte pas.

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a grandi dans les beaux quartiers de Beverly Hills • 1ère année en medecine (mineur langues vivantes), elle a recommencé un cursus à l’université après avoir déjà fait deux ans de journalisme • elle est entrée à Princeton en 2012 pour entamer un cursus de journalisme • elle était une Tower • gosse de riche pourrie gâtée, elle était manipulatrice et impitoyable • elle a perdu sa mère alors qu'elle n'avait que six ans • quand elle est en deuxième année, un scandale éclate : son père s'avère être le parrain californien à la tête d'un réseau de mafieux qui sévit depuis 20 ans • sa réputation en prend un coup • ses comptes en banque sont gelés • elle devient la risée du campus • elle perd tout et fuit le campus • en septembre 2015 elle revient à Princeton pour se donner une seconde chance • elle est pauvre et doit enchainer deux boulots pour survivre • elle squatte chez Casey, un ancien ami de son père • elle est bien loin de la fille qu’elle était avant de partir : elle se cherche, elle expérimente et elle retrouve confiance en elle • elle ne couche que si elle a des sentiments • elle a perdu sa virginité à l’âge de seize ans avec Liam qui lui a brisé le cœur • elle garde une âme d’enfant et est en manque d’affection et de reconnaissance •
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(#) Dim 6 Mar - 17:11


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ALEXURFORTHEWIN


Deux semaines. Cent soixante huit heures. Aucun message, aucun appel. Rien qui ne laissait supposer qu’il était en vie. Arthur a disparu de la circulation. Il n’a pas daigné te contacter. Tu ne savais rien. Absolument rien. Trop têtue pour faire le premier pas, tu attendais. Comme une pauvre conne. De toute façon ce n’était pas à toi de revenir. C’est lui qui t’a dégagé. C’est lui qui a fait une connerie. A lui d’essayer de la réparer. Tu t’impatientais de savoir où il était, ce qu’il faisait et s’il comptait revenir un jour vers toi. Ce n’est pas la première fois qu’il te fait le coup. Tu es habituée avec lui. Le voir disparaître quelques jours puis le voir réapparaitre. Sauf que là tu avais besoin de lui. Tu avais besoin de savoir qu’il était là. Juste présent dans ta vie. Et il a fui. Tu étais seule. Fragile. Impuissante. Une idiote qui se retrouve dans une merde sans nom et qui ne sait pas comment s’en sortir. Tu ne veux en parler à personne. Encore moins à Arthur. Tu préfères qu’il t’arrive quelque chose que lui dire ce qu’il se passe en ce moment dans ta vie. Tu ne veux plus le revoir dans un état de rage. Comme l’autre soir à la course. Il a suffisamment de problèmes comme ça. Il se débrouille très bien tout seul. Ta décision est prise de toute façon. Tu ne lui diras rien. Tu préféras parler de ses conquêtes, de ses plans culs, de ses stupides courses de voiture plutôt que de toi. Tu lui en veux. Il ne le sait pas mais tu avais besoin de lui. Plus que jamais. Et ce cher Arthur était aux abonnés absents. « Tu sais que j’suis doué pour rester en vie. » Il est doué pour tout un tas de choses. Pour revenir comme un con vers toi. Pour arriver à te faire oublier que tu as envie de le frapper de t’avoir abandonné pendant deux semaines. Pour te faire culpabiliser de lui sourire si facilement. Pour être si beau et si tendre avec toi. Pour être celui dont tu as besoin là tout de suite. Tu ne réponds pas. Tu gardes tes yeux au sol. Tu ne veux pas affronter son regard. Tu ne veux pas qu’il voit toute cette tristesse qui te ronge. Tu ne veux pas qu’il sache. Tu as envie de t’enfuir, te partir loin de ses yeux si doux. Tu sais très bien qu’il sait que quelque chose ne va pas. Tu es très vite mal à l’aise. Ces quelques minutes de silence te font penser qu’il te regarde, qu’il observe. Tu paniques. Et si tu avais oublié de camoufler une marque ? Et si ton pull ne cachait pas suffisamment ta perte de poids ? Tu le sens s’approcher de toi et tu frisonnes. Tu as peur de ce qu’il va dire. Tu as peur qu’il ait compris en un regard. Il relève ton visage du bout des doigts. Tu t’efforces de ne rien laisser transparaitre. Tout va bien. Il ne peut rien voir. Aucune trace physique n’est visible. Tu pourras toujours prétendre que tu es fatiguée et malade. Mais tu vois bien qu’il a compris. Tu peux toujours faire semblant, lui dire  qu’il a mal vu, que ce n’est rien d’important. Une mauvaise passe. Une dispute avec Lenny. Oui, il pourra probablement gober ça. De toute façon, il est probablement à des années lumières de penser à ce qui t’arrive réellement. « T’aurais vraiment dû venir habiller comme ça l’autre soir. » Tu l’entends rire mais il n’arrivera pas à te décrocher un sourire. Tu fuis son regard. Ce pull tu ne le mets pas par plaisir. Tu l’as enfilé juste pour cacher toutes ces marques. Tous ces hématomes qui te rappellent ta faiblesse. Il est trop proche de toi. Bien trop proche. Tu sens son souffle chaud. Tu sais qu’il n’est pas tactile, qu’il n’aime pas les démonstrations. Mais il pose ses mains contre tes épaules. Tu es tiraillée entre l’envie de te coller contre son torse, de trouver cette sécurité dont tu as tant besoin et l’envie de t’écarter brusquement. Tu frisonnes. Tu trembles légèrement. Tu aimerais pouvoir arrêter mais tu n’y arrives pas. Tu sais qu’il va forcément s’en rendre compte. Tu ravales tes sanglots. Il ne verra rien. Il ne saura rien. L’épaisseur de ton pull t’empêche d’avoir mal. Il ne fait qu’effleurer tes bleus sans le savoir. Tu grimaces légèrement rien que de penser à tous ces hématomes qui recouvrent ton corps. Tu sens ton cou se découvrir au fur et à mesure de ses caresses. Non non. Rapidement tu remontes ton pull pour cacher ton cou. Tu sais qu’il y a des marques à ce niveau-là et tu ne veux pas qu’il les voit. Tu essayes de faire ça machinalement mais ce n’est pas très naturel. Trop rapide. « Oui finalement je n’ai eu que ce que je méritais. » Tu tentais de faire de l'humour mais ta voix est froide, tranchante. Un reproche que tu te lances à toi-même. Il ne va pas forcément comprendre que tu ne parles pas juste de ce soir-là, il y a quelques semaines. Il y a beaucoup plus de sous-entendus.  Si tu t’habillais différemment peut-être que rien ne serait arrivé. Ce connard à la course. Puis chaque soir à la sortie de ton boulot. Peut-être que tous ces coups que tu prends, tu les mérites. Peut-être que c’est de ta faute tout ça. Tu es qu’une petite conne qui aime mettre des robes. Tu ne peux pas te plaindre de te faire frapper. Puis tu suffoques. Cette proximité. Ses mains sur tes épaules. Ses caresses. Tu ne mérites rien de tout ça. Tu trembles. Tu ne peux pas. C’est trop dur de te laisser toucher comme ça. Tu te détaches de lui. Un peu trop brusquement. Tu mets une distance entre vous. Tu continues de fuir son regard. Tu frottes tes mains sur tes bras pour qu’il croit que tu as simplement froid. C’est tellement ridicule que tu te doutes bien qu’il ne va pas y croire. « D’ailleurs Casey n’est pas là, tu veux quelque chose à boire ? » Tu parles vite. Très vite. Tu ne lui laisses pas le temps de répondre que tu te diriges directement vers la cuisine. Un pas trop rapide. Tu fuis. Son regard. Son jugement. Sa présence. Tu paniques à l’idée de l’avoir de nouveau près de toi. Le pire c’est que tu voulais de sa tendresse. Il t’a manqué. Un câlin t’aurait rassuré. Il t’aurait fait du bien. Mentalement et physiquement. Mais tu ne peux pas. Tu ne peux pas t'ouvrir à lui alors tu resteras distante et tu mettras ça sur le fait que tu lui en veux de t'avoir dégagé. Tu respires un bon coup avant d’ouvrir le placard du haut pour attraper deux tasses. Sois naturelle Alexis et tout se passera bien.

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(#) Lun 7 Mar - 20:01



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Cette peau si pâle. Mine déconfite. Comme fatiguée, lessivée par les joues qui sont passées depuis qu’elle est partie l’autre soir. Tu n’arrives pas à revoir ce visage souriant. Cette eau légèrement halée dont elle a donné l’habitude de contempler sans t’en lasser. Elle n’est pas celle de qui tu as photographié le mémoire pas un simple regard. Regard, traits si fins, si définis mémorisés au grain de peau près. Tu ne veux pas lui demander. Ce ne serait pas ton genre, Arthur ne demande pas. Il trouve. Par tous les moyens logiques. Peut-être que cette fois-ci tu te fais des idées, qu’elle va bien. Que tu rejettes cette pâleur immorale de ton cœur sur son visage pour te donner conscience, que tu ne devais tout simplement pas être ici. Pourtant, son visage en face de tien. Soulevé par ton doigt, un geste tendre, attention. Étrangement incollable à ton image que t’habitues aux autres personnes. Tes mains le long de ses épaules fragiles pour la protéger. Lui dire que tu es la sans ouvrir la bouche. Sans gaspiller de salve inutilement. Tu sais que quelque chose ne va pas à son simple regard si fuyant. Elle te cache quelque chose, tu ne sais pas quoi. Pourquoi. Qu’est-ce qui pourrait t’inquiéter au point qu’elle ne t’en parle pas, qu’elle te tienne à l’écart de ses problèmes. Ça t’obsède, de plus en plus. Cette lueur au creux de ton cœur qui te rappelle qu’elle doit être protégée. Que c’est ton rôle. Depuis tant d’années, tu ne veux que son bonheur. Tant qu’elle ne sourit pas, tu ne peux pas être bien. Mener une vie tranquille. Son bras qui relève son pull rapidement, qui te repousse sans véritablement le vouloir. Cette envie de cacher quelque chose, de pas se laisser a découvert. Tu relâches ses épaules, intérieur de ta bouche mordillée nerveusement. D’ailleurs Casey n’est pas là, tu veux quelque chose à boire ? Rien ne lui ressemble. Presque un peu vexé par son comportement. Elle devrait savoir que rien ne t’échappe. Que tu comprends trop. Vite. Bien trop vite pour qu’on puisse te cacher quoi que ce soit. Peut-être qu’elle s’en doute. Elle est nerveuse, sa façon d’agir dans la précipitation, mal à l’aise comme jamais. Tu tentes de garder un esprit sain. De ne pas penser au pire. Tu te rapproches d’elle, de son bas du dos, découvert. Le pull relevé, laissant apparaitre sa peau. Tu n’y prêtes que vite fait attention suffisamment pour remarquer des différences de couleurs. Sa peau pâle recouverte d’une teinte bien plus beige. Elle a la bonne mine de peau par plaque, que veux tu. Suspect, trop hors de toi. Tu ne veux pas imaginer le pire. Ce que tu penses que ça pourrait être. Tes bras qui l’entourent, ton torse collé à son dos, laissant une pression intense entre vous deux. Une emprise forte, pour entourer la jeune femme. Presque sadique de serrer aussi fort ton étreinte sur elle. Le cœur net, c’est tout ce que tu veux. J'aime pas te savoir toute seule ici. Dans le creux de l’oreille, juste suffisamment avancé sur son épaule pour voir son visage sur le côté de tes yeux. C’est surement pas que de la surprise de te se retrouver dans ses bras, que tu devrais apercevoir sur sa figure de cadavres vivants. Ton souffle qui s’abat sur sa joue, ton regard insistant.

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Alexis Ivy Lancaster
Alexis Ivy Lancaster
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Ce qu'il faut savoir sur moi :
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LENNY : Il te trouble. Il est ton tuteur. Il te détestait puis a fini par apprendre à te connaitre entre deux prises de tête sur la biologie. Il t'a amené en tant que cavalière à la soirée de la Saint-Valentin. Et tu te laisserais tenter par une histoire sérieuse avec lui même si au fond tu as peur qu'il t'utilise. • ARTHUR : ton meilleur ami d'enfance. Tout est parti d'un porte-clé trouvé sur la plage. Probablement ton âme soeur. Tu ferais tout pour lui. Prête à tout pour ses yeux bleus car tu ne vois pas ta vie sans lui. Tu lui fais entièrement confiance. Si tu es amené à tuer quelqu'un, c'est lui que tu appelleras pour t'aider à enterrer le corps. • LIAM : Ton premier amour. Tes premiers sentiments. Ta première histoire. La première fois que tu as eu le coeur brisé. Une amourette de vacances dans laquelle tu t'es complètement abandonné pour te ramasser. Il est parti sans te donner aucune nouvelle. Tu lui en veux. C'est à cause de lui que tu n'as jamais réussi à vraiment ouvrir ton coeur. • CASEY : Un ami de ton père, un mafieux lui aussi. Tu ne le connais pas beaucoup. Tu le remercies de t'héberger et de ne pas te laisser dans les dortoirs miteux de l'université. • PRIAM: C'est le mec qui te fait découvrir son monde. Loin des palaces et des restaurants quatre étoiles, il t'emmène visiter la ville comme tu ne l'as jamais vu. Il te chamboule, il bouleverse tes habitudes et tu en as besoin. • KAIDANROMEO : Tu es sortie avec lui ta première année à l'université. Tu voulais te faire une image et utilisé son nom de famille mais tu as vite compris qu'il cachait pas mal de choses. Tu lui as fait du chantage pour qu'il reste avec toi, tu avais besoin de te construire une réputation. Maintenant tu t'en veux. • ALEJANDRO

JULIETWILLOWSKYLERVICTOIREMEADOWZELIE

a grandi dans les beaux quartiers de Beverly Hills • 1ère année en medecine (mineur langues vivantes), elle a recommencé un cursus à l’université après avoir déjà fait deux ans de journalisme • elle est entrée à Princeton en 2012 pour entamer un cursus de journalisme • elle était une Tower • gosse de riche pourrie gâtée, elle était manipulatrice et impitoyable • elle a perdu sa mère alors qu'elle n'avait que six ans • quand elle est en deuxième année, un scandale éclate : son père s'avère être le parrain californien à la tête d'un réseau de mafieux qui sévit depuis 20 ans • sa réputation en prend un coup • ses comptes en banque sont gelés • elle devient la risée du campus • elle perd tout et fuit le campus • en septembre 2015 elle revient à Princeton pour se donner une seconde chance • elle est pauvre et doit enchainer deux boulots pour survivre • elle squatte chez Casey, un ancien ami de son père • elle est bien loin de la fille qu’elle était avant de partir : elle se cherche, elle expérimente et elle retrouve confiance en elle • elle ne couche que si elle a des sentiments • elle a perdu sa virginité à l’âge de seize ans avec Liam qui lui a brisé le cœur • elle garde une âme d’enfant et est en manque d’affection et de reconnaissance •
Spoiler:

(#) Mar 8 Mar - 10:23


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ALEXURFORTHEWIN


Tu le connais bien Arthur. Tu sais comment il marche. Tu sais qu’il n’aime pas être dans l’ignorance, qu’il aime découvrir les choses par lui-même, qu’il n’est pas du genre à te regarder te renfermer sans rien faire. Parce-que c’est clairement ce que tu es en train de faire. Tu refuses de t’ouvrir à lui. Tu lui caches quelque chose alors que tu lui as toujours tout dit. Vous n’avez pas de secret l’un pour l’autre et ça depuis toujours. Ses cachoteries les plus noires. Ses conneries les plus extrêmes. Rien n’est tabou entre vous. Pas de jugement. Pas de regard en biais. Vous êtes francs l’un envers l’autre peu importe le sujet. Alors c’est dur pour toi. De fuir son regard. De te cacher. De lui faire comprendre que oui, il y a quelque chose mais que non tu ne veux pas en parler. C’est pour lui que tu le fais. Pour une fois c’est toi qui le protèges. Pas l’inverse. Tu en as marre que ce soit toujours dans un sens. Tu ne veux pas être la fille fragile qu’il ne cesse de sauver des méchants. Alors cette fois tu te débrouilleras seule. Tu ne mêleras pas Arthur. Et s’il faut tu t’engueuleras avec lui. Tu enchaineras les mensonges juste pour qu’il ne sache pas ce qu’il se passe. Tu le vois déjà culpabiliser en apprenant que c’est le connard qu’il a tabassé qui t’harcèle depuis près de dix jours. Mais il est doué. Très doué pour te faire craquer. Il a bien vu que tu n’agissais pas normalement. Toi qui cherche toujours le contact physique avec lui au point de le voir frissonner, tu t’es écartée de lui. Toi qui lui reproche de ne pas être assez tactile et démonstratif, tu as dit non à ses tendres caresses. Tu n’as pas réussi à être aussi proche de lui alors tu as changé de pièce. Mais il ne compte pas laisser passer. La main dans le placard, sur la pointe des pieds tu le sens se rapprocher de toi. Tu n’as pas le temps de l’éviter. Tu aurais préféré. Tu n’es pas à l’aise de l’avoir contre toi. Pas maintenant. Dans d’autres circonstances tu aurais profité de cette tendresse et de cette proximité. Elles sont rares. Trop rares pour les laisser filer. Mais là tu ne peux pas. C’est trop dur. C’est presque comme s’il le faisait exprès. Pourquoi il n’est jamais aussi tendre quand tu le demandes ? Pourquoi il ne te serre pas dans ses bras quand tu boudes ? Pourquoi il le fait le seul jour où tu l’évites ? Son torse contre ton dos. Ses bras qui t’entourent. Tu ne peux pas y échapper. Tu ne peux plus fuir. Alors tu te dis que de toute façon tant que tu dis rien, il ne saura pas. Ca ne se lit pas non plus sur ton visage que tu te fais frapper tous les soirs. Puis son étreinte s’intensifie. Il serre davantage. Plus fort. Sa tête sur ton épaule. « J'aime pas te savoir toute seule ici. » Tu fermes les yeux. Tu ravales tes sanglots. Il te fait mal. Son poids contre le tien. Tu as l’impression qu’il appuie sur tous tes hématomes en même temps. Chaque marque se réveille sous son poids. La douleur est intense. Tu te revois hier prisonnière de ces bras trop imposants face à ta taille de guêpe. Ces coups qui s’enchainaient, lui qui t’a jeté contre le mur en briques sans que tu puisses faire quoi que ce soit. Ce regard si froid, si méchant qui ne cherchait qu’à te faire mal. Tu te tords de douleur. Tu baisses la tête. Tu ne veux pas qu’il le voit. Tu ne veux pas qu’il sache que tu es à deux doigts de pleurer. Puis tu suffoques. La douleur est trop intense. Il faut qu’il te lâche. Maintenant. « Arthur… » Un murmure. Une voix trop faible. Tu souffles à peine son prénom. Tu ne veux pas être trahie par ta voix. Mais au fond tu sais que c’est trop tard. Il t’a vu. Il a vu que tu avais mal. Il a vu que tu te tordais de douleur. Ton pull ne sert à rien. Les marques sont encore trop fraiches. Certaines ne datent que d’hier. Alors tu réessayes. Tu ouvres les yeux. Tu grimaces discrètement tout en essayant de te détacher de lui. Il doit arrêter de te serrer si fort. Ce n’est plus supportable pour toi. « Arrête ! » Ta voix tremble. De peur. D’angoisse. De honte. Tu baisses les armes. Tu as compris son manège. Il a gagné cette bataille là. Tu te détaches définitivement de lui pour lui faire face. Tu ne sais pas ce qu’il croit avoir compris mais il n’en saura pas plus. Tu ne comptes rien lui dire. Il n’a qu’à passer à autre chose. Il ne te reste plus qu’à trouver un mensonge qu’il pourra gober. N’importe quoi. Même si tu sais déjà que ça va être compliqué. Arthur est malin. Il n’est pas dupe. Il voit très bien quand tu lui mens.

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