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 weathering with your warm embrace (jordiyah)

weathering with your warm embrace (jordiyah) 1454767175-membre-cottage
Jorden E. Montgomery
Jorden E. Montgomery
"Kill 'em with kindness" - Cottage Club
Messages : 751
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Célébrité : zefron.
Pseudo internet : fluorescent, (luciepussy).
Arrivé le : 27/12/2015
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(#) Lun 4 Jan - 11:18

❝ weathering with
your warm embrace

JORDEN & AALIYAH.

Une vue, admirable, mémorable. Une vue qui fait rêver. Cette vue sur la ville de New York que tu affectionnes temps. Cette ville, si grande où tu es né, quelques années plus tôt. Cette ville où t’as passé tes plus belles années. Celle que tu as fuie pendant plus d’un an pour partir quelques kilomètres plus loin. Perchés sur le haut de ton immeuble. Sur ta terrasse illuminée par la lune. Blanche, toujours présente, chaque année. Tu ne pourrais pas te passer de cette vue la pour fêter l’arrivée de ce nouveau suivi de numéros à afficher un eu partout pendant 365 jours. Tu ne pourrais pas non plus te passer d’elle. Aaliyah, ses beaux yeux, sa chevelure blonde, ondulés, toujours coiffés à perfection. Son visage angélique qui arrive à t’énerver et te faire fondre en même temps. Qu’est ce que serait cette soirée sans elle. Malgré les derniers évènements, elle n’a peut-être pas tout à fait tort. Tourner la page, passer à autre chose. Vite, ce n’est pas plus mal. Tu n’as pas ouvert le bouche sur votre dispute de quelques jours plus tôt. Tu n’as fait aucune réflexion à la con de ta rancune étrange. Vous êtes installés, à moitié allongées sur les chaises longues, une couverture sur vous. La bouteille de champagne au trois quarts vide qui repose par terre, vulgairement. Qu’importe l’endroit où elle sera de toute manière, elle continue de faire tourner les têtes, cette bitch. Pourquoi on fête la nouvelle année ? On s’en fou enfaîte.. Demain on continuera de vivre pareil que les 365 jours derniers, nan ? Tu ricanes en reprenant la bouteille à la main, ton verre vide dans l’autre. Cette année j’deviens gay ! Tu te ressers un peu de champagne en lui donnant la bouteille vide, juste après. Allez bois, alcoolique!

© MADE BY LOYALS.
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Anonymous
Invité
Invité
(#) Lun 4 Jan - 12:06

Chaque année, nous fêtons le passage à la nouvelle année, comme si cela était quelque chose d’extraordinaire. Je peux comprendre que durant les premiers jours de nos vies, on fête cette soirée, ce passage, mais au fil du temps, cela devient la même chose, une rengaine perpétuelle, interminable. La preuve, après une énième fête chez Jorden, on se retrouve tous les deux là, sans personne, un verre de champagne à la main, allongés sur nos transats comme deux larves beaucoup trop soûles pour tenir debout sur leurs pieds. On attend qu’il soit minuit. Que la planète vieillisse et que nous prenions un jour de plus dans la gueule. Comme chaque année. Je pense que les anniversaires, c’est le pire d’ailleurs. On est tous heureux, comme des idiots à danser, sauter, boire et souffler sur des bougies au nombre de notre âge. Âge qui ne cesse de nous rappeler qu’il y a 22 ans, dans mon cas, j’étais encore un bébé, insouciant de la vie et qu’aujourd’hui, j’ai 22 ans et que dans 10 ans, j’aurai 32 ans. Que je me rapproche lentement de la vieillesse et que je ne deviendrai bientôt qu’une vieille femme, ridée, sénile qui ne saura même plus où se trouve sa droite et sa gauche. Mais buvons, fêtons avant que l’inévitable arrive. Avant que le décompte de 10 secondes ne commence. Avant que nous ne passions à l’an 2016. Parce qu’on est tous hypocrite… Hypocrite avec nous-même ! Je suis censée être heureuse. Mais j’en ai marre de vivre la même routine, à longueur de journée, comme si les jours défilaient mais se ressemblaient tous. En fait, c’est exactement cela. Mes journées se ressemblent toutes. Je vais en cours, je rentre et j’étudie et on reprend les mêmes le lendemain et on recommence. Il n’y a que les jours de fêtes en fait où je change un peu mon mode de vie. Comme aujourd’hui par exemple. Cette année je m’engage dans l’armée ! Mon projet est aussi absurde que le sien mais au moins, il comprendra peut-être pourquoi je dis cela. Il comprendra peut-être que je ne le crois pas du tout. Il me remplit de nouveau mon verre que j’ai vidé en pensant au sens de la vie et de cette fête, sans trop m’en rendre compte. Tout cela, en insinuant que j’étais une alcoolique. Quoiqu’il ne l’insinue pas en fait. Il le dit clairement. Je bois le contenu de mon verre d’une traite puis je me lève d’un coup. J’ai la tête qui tourne. Je n’aurai pas dû me lever aussi vite. Mais, j’aime réfléchir après coup. Jorden est bien placé pour le savoir ça. Je me tourne vers lui et relève le bas de ma robe jusqu’à mes hanches, histoire de pouvoir bouger sans abîmer ma sublime robe. Je ne suis ni alcoolique, ni soûle et je vais te le prouver ! Je m’accroupie et commence à marcher comme un canard. Un bon exercice pour lui prouver que je vais super bien. Ma preuve n'a pas bien fonctionné. Je me retrouve à 4 pattes, tel un chien ou… Ou un singe. Je commence d’ailleurs à imiter les sons du singe et à marcher comme lui en direction de Jorden. Je pourrais devenir comédienne tant je suis à fond dans mon rôle et archi douée en plus de cela. Je me redresse et commence à fouiller dans ses cheveux, comme une maman singe à la recherche d’insecte sur la tête de son petit.
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Jorden E. Montgomery
Jorden E. Montgomery
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(#) Mar 5 Jan - 0:00

❝ weathering with
your warm embrace

JORDEN & AALIYAH.

Parce qu’on est tous hypocrite… Hypocrite avec nous-même ! Peut être pas. Ou peut être que si. C’est même surement un moment idéal pour faire la fête, une soirée, un évènement crée par des gros fêtards, les p’tits scientifiques fous qui ont découvert la rotation de la Terre, les jours, puis une année. Mais tu t’en fiches de tout ça toi, t’en as rien à foutre. Tu veux juste une bouteille de champagne, des fines bulles pour t’exploser le bide. Un champagne français. Tu veux Liyah à tes côtés. Cette blonde aux courbes plus que charmantes. Cette blonde qui t’attire bien top pour que tu puisses l’assumer et l’admettre. Cette année je m’engage dans l’armée ! Tu l’imagines pourtant super bien, rasée, le corps musclé, la tenue parfaitement militaire et puis ses ordres, ses directives. Sa poigne de maitre sur sa troupe de vagins patriotes. Putain c’est excitant ! Le string en militaire ! Miaaaam. Tu la vois déjà brandir son string noir du dimanche lazy pour déclarer la guerre. Capitaine Fitzsimmons. Connue pour avoir redonné modernité et élégance aux tenues militaires. Tu ne peux pas t’empêcher de te marrer. Une jupe, moulante. La jupe crayon qui moule les hanches dans les tranchées. Dans la boue. Qu’est ce que tu peux être bizarre parfois. La voilà qui se met debout. Sa robe remontée plus haut que son cul. Ses délicates gambettes à l’air libre, sous tes yeux, encore. Ca en deviendrait une habitude non !? Tu te mordilles la lèvre inférieure. Petit sourire pervers sur le bout des lèvres et tes yeux vilains qui n’en perdent aucunes miettes. Je ne suis ni alcoolique ni soûle et je vais te le prouver ! Accroupie, le cul à quelques centimètres du sol, position plus qu’étrange qui te pousse à penser de manière masculine. Hooooooo, coquine. Finalement à quatre pattes dans ta direction. D’un coup vif tu retires la couverture qui gardait tes jambes au chaud. La température est bien trop élevée à ton gout là ! Elle fouille tes cheveux. Elle fouille tes putains de cheveux, du bout de ses doigts, comme une femelle parfaitement lucide de ses mouvements. Tu ne peux pas t’empêcher de rire en passant u regard lourd sur sa poitrine à quelques centimètres de tes yeux. C’est étrange ! J’pensais avoir étudié toutes les races de singes de cette planète, mais c’est la première fois que j’vois une femelle, avec des testicules sur le torse, de couleur blanche, une longue crinière de lionne sauvaaaage et qui fouille la tignasse d’un mâle dominant. Oui t’es dominant. Tu te marres en caressant du dos de ton doigt la peau de son cou. Ooooooowi, qui s’est qui veut la banane ! Hein, c’est qui ! Tu prends ton verre, encore rempli des dernières gouttes de champagne. Allez attrape Gizelle ! Tu lances le verre à travers la terrasse. Le liquide qui retombe sur vous, vulgairement. Naze ! Le verre qui termine sa course par dessus les palissades qui sépare ton chez-toi du vide. Merde ! Tu te caches rapidement sous la couverture comme un vrai gamin après sa connerie ! Entrainant dans ta fuite sur place, ton singe blondinet. Tous les deux, sous l’obscurité du plaid. Obscurité qui vous coupe quelques instants du monde cruel de la jungle urbaine. Tu la regardes, dans un moment de calme. J’veux bien jouer l’hypocrite avec moi mêle une fois par an si c’est pour passer la soirée avec toi. Violon, s’il vous plait.

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Anonymous
Invité
Invité
(#) Jeu 7 Jan - 0:50

Je ne peux m’empêcher de rire en voyant son regard de pervers et puis, ses paroles de pervers aussi. Il ne m’imagine pas en tenue de militaire non, mais en string militaire. Bon, j’avoue que vu mon corps parfait et que je serai donc, logiquement, parfaite en string, peu importe le motif mais bon, je suis sa meilleure amie. Qu’il garde donc ses pensées impures pour une autre fille. Bien que je ne pense pas être d’accord pour qu’il fasse cela. Je ne saurai même pas expliquer pourquoi. Je veux dire, ce n’est pas de la jalousie. Je ne suis pas jalouse. Du moins, je crois. Je ne sais pas. Haan, je ne veux pas y penser. Je vais commencer à tirer une face bizarre, à réfléchir et je ne serai plus dans l’esprit de la fête, à deux. Rien que lui et moi. Le pire dans tout cela, c’est que j’ai l’impression qu’on est bien mieux maintenant que tous les autres sont partis. T’es un pervers Montgomery ! Il faut dire que je l’ai un peu cherché aussi. Me promener les fesses à l’air, bien que recouvert d’un petit sous-vêtement limite inutile. Je pense qu’inconsciemment, je l’ai fait exprès. Pour qu’il puisse admirer, commenter, mais surtout baver devant. Parce que vu la largeur du bas de ma robe, j’aurai très bien pu ne rien remonter. Je finis par me retrouver près de sa tête. Plus près que la normale, en train de fouiller dans ses cheveux. Je fais même mine de manger ensuite ce que j’y trouve. Bien que je n’y trouve pas grand-chose. Voire, rien du tout d’ailleurs. D’où ça ce sont des testicules ? J’attrape fermement ma poitrine dans mes mains et je la remonte. Je crois que je me suis déboitée un sein en même temps. Même si je ne pense pas que ce soit physiquement possible. Non, je suis en médecine. C’est impensable que je doute de ça quoi. Puis je finis pas finalement tilter… T’es un mal dominant toi ? Depuis quand ? Je le domine plus que le contraire. J’arrive à faire battre son cœur à une vitesse inimaginable, à lui faire dire des choses qu’il n’aurait jamais pensé dire face à moi et j’en passe sur le reste. Moiiii je veux la banane poilue ? De quoi on parle très exactement là ? Je ne sais pas trop. Je tape quand même dans mes mains, toute fière. Je suis pourtant certaine de ne pas avoir trop bu ce soir. J’ai bu hein oui. Je ne dis pas le contraire. Mais je suis quand même encore consciente de ce que je fais. En gros, tout ça là, c’est naturel. Je me fais peur quand même… Un peu. Je le vois lancer son verre en l’air. Je ne comprends pas le but de la manœuvre. Je tente de me cacher avec mes mains. Comme si j’étais un parapluie. Sans que je m’en rende compte, il m’attrape et m’amène à lui, sous la couette, contre lui. On se regarde dans les yeux, dans l’obscurité avec pour seul éclairage, ceux de l’appartement restés encore allumés ainsi que les lumières de la ville. Ses quelques mots me font frissonner. Je ne sais pas quoi lui répondre. C’est tellement mignon. J’approche mon visage du sien et dans un élan de… Je ne sais même pas de quoi, je l’embrasse. Je finis par retrouver la raison. Je romps tout contact physique avec lui. Je me lève et attrape la bouteille de champagne. Mais elle est vide. J’en viendrai presque à pleurer. Mais bon, je ne me laisse pas abattre. Je vais nous chercher une autre bouteille ! Je retire ma robe et la lui lance sur la tête avant d’entrer dans l’appartement et de me rendre à la cuisine. Je prends tout mon temps pour y aller.
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(#) Dim 17 Jan - 12:33

❝ weathering with
your warm embrace

JORDEN & AALIYAH.

Pervers. De ce qu’elle dit tu n’es qu’un pervers. Un homme d’où les intentions n’est axé que sur le sexe, ce qui s’en approche, de loin, comme de près. Naaaaaan. Tu es juste un mec, un mâle. Tu regardes ce qui semble intéressant à tes yeux, ce qui semble être plutôt agréable à regarder. Flatter, c’est comme ça qu’elle devrait se sentir. T’aimerais être flattée de toi-même. T’aimerais te regarder, te sentir pervers envers toi, vraiment. C’est malsain. C’est Jorden. Et puis pourquoi elle t’insulte, c’est bien elle qui se trémousse sous tes yeux la cul gracieusement moulé dans son sous-vêtement que t’aimerais juste arracher sans chercher à comprendre qui elle est vraiment pour toi. Une amie, une fille qui te donne juste envie. Ou autre chose. Perdus, tous les deux. Aussi perdus que vos lèvres qui s’entrechoquent. Qui voyage l’une sur l’autre. Un doux baisé senteur alcool au gout champagne et petites bulles explosives sur le bord de vos langues. L’alcool, ou juste l’envie. Trop bourré pour chercher à comprendre, pour la repousser, pour repenser à ce qu’elle t’a fait. Je vais nous chercher une autre bouteille ! Elle retire sa robe, encore plus tentatrice qu’elle ne l’était tout à l’heure. Elle te cherche, sans même peut-être s’en rendre compte. Une est sûre. Tu reçois bien le message, pas qu’avec tes yeux, d’ailleurs. Tu te lèves rapidement pour la rejoindre à l’intérieur. Les joues rosies par le changement de température. Le corps encore froid de l’extérieur le reste bien trop chaud pour rester dehors. Ton corps entier attiré par la demoiselle blonde qui se retrouve nue, presque nue, chipote pas. Dans ta cuisine, tripotant les bouteilles de fortunes, l’air de rien. Tu t’approches d’elle, par-derrière, ton buste collé à son dos, tes mains qui se glissent le long de ses avant-bras pour stopper ses mouvements. T’es bourrée. Ne touche pas mes bouteilles. Tu ricanes en reculant, avec elle dans tes bras. Elles coutent trop cher pour que tes mains de chirurgiennes tremblantes les touches ! Tu la retournes vers toi, tes mains sur ses épaules dénudées qui te semblent si fragiles. Pourquoi tu fais ça ? Tu sais que tu m’plais hein. Pas la peine d’en rajouter ! T’es bourré, tu ne sais pas vraiment ce que tu dis. Elle te plait, la vérité, elle est là. Elle est surement ou courant, ou pas.

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