BIENVENUE A TOUS SUR THE OTHER SIDE ! Nous sommes heureux de vous accueillir sur cette deuxième version, les nouveautés se trouvent ici, n'hésitez pas à poster à la suite.
Quand on me voit, on ouvre grand les yeux, puis on pense que je suis un véritable petit ange. Faux ! Je peux même devenir ton pire cauchemar. Je te conseille donc de faire attention, et d'être dans mes bonnes grâces. Je peux être fidèle, et à peu près gentille. J'ai encore des difficultés pour être toute douce. Mes sentiments ont des limites, je dois encore bosser dessus. Mais je m'améliore, je fais de mon mieux. Franchement, à côté de certains, je me porte comme un charme avec eux. Un vrai nounours. Nate est certainement la seule personne qui sait faire sortir le meilleur qui est en moi. Mon entourage est sacrément limité. J'essaye de tout faire pour les garder auprès de moi. J'avoue que je peux être diabolique, une vraie vipère, mais ce n'est qu'un détail. Rien de méchant. OK, c'est méchant, même cruel, mais qu'est-ce que je m'amuse. J'aime bien torturer les autres, j'aime bien dire tout ce qui me passe par la tête. Je suis franche, et d'autant plus si ça blesse. Toute chose à ses limites, et ma franchise s'éteint là où il faut avouer certains sentiments. J'ai peur d'être blessé à nouveau.
Je suis rancunière, et ça ne coûte pas cher. Pourtant, je profite de la vie, et vis chaque jour comme si c'était le dernier. Je dois vivre cette vie depuis 5 ans. Une fois que j'ai arrêté de croire que mes parents allaient pouvoir m'aimer. J'ai tout fait pour attirer leur attention, mais rien n'y a fait.
Je suis une vraie égoïste, c'est moi avant tout. Enfin, après Nate. Mais après lui, il n'y a personne. J'estime que je vaux que tout le monde, que personne ne peut être meilleure que moi. Je suis une vraie acharnée, je me donne à fond dans ce que je fais. J'estime n'avoir besoin de personne. Je me débrouille par moi-même, et je n'ai à remercier personne. Propose ton aide, et tu verras comment tu seras reçu. Garde là charité pour ceux qui en ont besoin. Je suis loin d'être miséreuse. Au contraire.
HISTOIRE:
1 + Je suis née à Melbourne en Australie. Au final, ma famille y est restée trois ans. La question est pourquoi être venue vivre là-bas. Je suis certaine qu'ils ont fait tout ça pour que leurs enfants aient la nationalité australienne. Dans ces magouilles, il y a toujours une question d'image. Ma daronne est juste trop fracasse pour voir plus loin que ses nouveaux nichons. Donc, peu de temps après ma naissance, nous sommes partis vivre en Amérique. 2 + Ma famille a une influence débordante qui peut faire peur à un bon nombre de personnes. Je suis une héritière, avec plein de zéros. Je devrai dire merci à la politicienne qu'est ma mère, et à la grande entreprise qui est dans ma famille depuis des lustres. Super, merci. Ô, je suis heureuse d'être riche, et je crois que je verserai toutes les larmes de mon corps si je n'avais plus ma meilleure-amie, la carte bancaire, à mes côtés. Alors, est-ce que pour ça, je dois être reconnaissante envers mes parents ? Regardez, vous voyez ce doigt qui est plus long que les autres ? Je le dresse dignement, alors que je serre les autres. Excusez-moi, il s'est dressé tout seul. De toute manière, je sais très bien que je serai lapidée avant d'avoir fini mes études. 3 + Je ne suis pas un enfant désirée, je suis seulement le fruit d'une erreur, une vulgaire erreur. En plus de ça, je ne me voyais pas suivre la route de mes parents. Je faisais quelque chose d'incompréhensible pour eux : de l'art. Je n'étais pas non plus à leur hauteur. Pas jolie, grosse, rien qui ne puisse plaire aux photographes. On peut carrément dire que j'étais la honte de la famille. Ugly Betty c'était moi. Je bossais comme une dingue à l'école. Je me donnais à fond dans le base-ball, mais non, c'était un sport de mec. 4 + J'ai été élevée par ma nourrice, Natacha. Elle n'était pas vraiment commode, elle était même flippante comme meuf. Elle me rappelait la sorcière dans blanche neige et les sept nains. Elle avait cet accent russe qui la rendait encore plus stricte. Avec elle, il fallait filer le droit chemin. Pire qu'un soldat cette vieille. 5 + Nate, mon grand frère, était le seul à voir qui j'étais véritablement. J'avais de l'importance, et j'en ai toujours autant pour lui. Il prend soin de moi. Il me donne tout l'amour que je n'ai jamais eu. Sa maladie me hante, je dois même être trop protectrice envers lui. Si je le perds, qu'est-ce qui me reste ? Petite, j'avais la bouffe et les snikers, mais aujourd'hui, deux amis, et encore, ils me détesteront tellement que je serai invivable. 6 + Pour plaire, j'ai tout donné, même ma dignité. Je suis allée dans ces camps pour obèses, alors que j'étais loin d'être un cas extrême. Je crois que j'ai jamais autant chialé de ma vie. 7 + Finalement, ils ont divorcé ! Lors de leur divorce, ils se sont même battus pour moi. Battus pour ne pas m'avoir. Qu'est-ce que j'ai fait ? Charlotte n'est pas assez bien pour ma maison. Son allure de cachalot ne passe pas inaperçue entre les meubles de la renaissance. Crève, crève, crève, crève.. 8 + Je n'étais plus la même. Mon corps avait changé. Je n'étais plus le thon de la famille. Mais mon physique n'importait personne. Je partais en sucette, c'était le bordel dans ma vie. Hop de la fumette par là, trois-six verres par ci, .. des menottes ? Ma vie, c'était comme un monopoly. Prison, case départ. Prison, case départ. Là, j'avais l'attention de mes parents. Et là, j'ai eu droit à la crise familiale. Je n'en pouvais plus. Nate m'a encore sauvé la mise. Il m'a emmené avec lui à New-York. 9 + A New-York, j'ai enfin pu grandir sans me soucier du regard de mes parents. J'ai arrêté de penser à eux. J'ai continué le base-ball, j'ai continué à faire la fête comme si elle allait être la dernière, j'ai continué le dessin, j'ai même vendu quelques toiles. Et par dessus tout, je suis restée qui je voulais être véritablement : tout ce qu'ils allaient regretter.
"Je sais que tu m'aimes trop, tu ne peux pas faire ta vie sans moi, car une morue c'est bien, mais à deux c'est la perfection." Morue Hugo.
NATHANIEL le grand frère qui a su m'inspirer. C'est mon univers tout entiers, et ma seule famille. Il est bien plus que Pascal Le Grand Frère, c'est dady, c'est ma vie. Jamais, je ne serai suffisamment te remercier.
NATHANIEL c'est mon plan cul régulier, et ça depuis des années. Il n'y a pas de prises de têtes, c'est juste une histoire de jeux, et de jambes en l'air. En plus d'être un super coup, c'est quelqu'un avec qui on peut passer du bon temps. PRIAM est un prof particulier qui ne se laisse jamais à battre, et qui est toujours ravi de venir donner un cours de langue poétique. Je crois que c'est le meilleur cours de ma vie, et il me rend toute chose. SANDRO, de base c'est juste pour embêter sofia, mais notre alliance est allée au dessus de ça, il faut bien qu'il s'amuse un peu le petit. SAWYER, c'est comme une jumelle, sauf qu'on n'a pas la même couleur de peau, ni de rien du tout en fait. Notre cerveau fonctionne de la même façon, c'est grâce à ça que l'on s'est rencontré lors de cette soirée mondaine. C'est ma meilleure-amie, et ensemble on fait des feux d'artifices, alors dégage. TIMEO une amitié sincère qui a est née via internet, puis au sein d'un stade de base-ball, pour continuer à mûrir encore, et toujours. Le meilleur-ami chez qui je m'évade depuis tant d'années.
CAESAR c'était mon mon si on peu dire. On était ensemble pour dire qu'on était ensemble, il n'y avait pas de sentiment, et c'était une relation très ouverte. Mais notre possessivité et notre jalousie nous ont finalement séparés. C'est mieux comme ça. MILO c'est une histoire qui aurait pu devenir jaguar, ça c'était le programme dans ma tête. J'avais un esprit débordant quand j'étais jeune. Mais, même s'il est un poil vieux, et le meilleur-ami de mon frère, il reste toujours aussi canon.
ISAAC, notre rencontre fut la pire qui puisse exister, et si je pouvais véritablement l'oublier, je le ferai sur le champ. On ne s'apprécie pas, et notre secret n'arrange pas vraiment les choses. Pourquoi a-t-il fallu qu'il soit mêlé la dedans, lui aussi ? KAIA, une conne qui soit disant ressent des remords sur ce qui s'est passé cette fameuse nuit. Tu ouvres ta grande gueule, et je m'assure que ton sors soit bien plus douloureux que la prison. N'oublie pas, beaucoup de choses s'achètent dans le vie. LORENZO c'est un ami en or, c'est ce que je dis devant tout le monde, mais je me méfie de lui. On a ce secret à quatre, et je vais m'assurer que personne ne le dévoile. LYANNA, c'est une fille que j'ai pas mal dragué lors d'une soirée, mais j'en ai aucun souvenir. Aujourd'hui, elle gênée quand elle me voit, je ne comprends pas, mais ça m'amuse. Peut-être que je suis son fantasme. -moche- THEODOR, est mon possible futur fiancé que veulent m'imposer mes parents et sa tante. On est contre, mais il fait comme s'il m'avait déjà la bague au doigt au près de personnes trop naïves. Il me rend folle, et je m'arrange pour que l'on soit au même stade. Je t'apprécie, mais je te rends la pareille, voire pire s'il le faut.
ELEANOR, elle qui se disait être mon amie. Je vois que nos ressemblances et nos différences nous ont éloigné. C'était la meilleure, mais comme tout chose, il y a une fin. GEMMA, elle voulait ce que je voulais, une affaire de femmes, de chaussures. Aujourd'hui c'es une affaire de détérioration de garde-robes. Fais gaffe, j'ai toujours un briquer sur moi. JULIET une histoire qui date, et qui est gravé à l'encre noir dans ma mémoire. Ta passivité devant ma détresse, et du moins le pire de ce que j'ai pu endurer. VTFF!
Je n'en peux plus, j'ai l'impression d'être sur le Titanic juste avant le naufrage. Mon cerveau part en couilles. Un œil dit merde à l'autre. Mais, c'est mon anniversaire, je fais ce que je veux. Je ne suis pas majeure ? Ta gueule, l'argent ça achète tout. Au milieu de mon salon, je danse avec Sofia. Il nous arrive toujours des problèmes quand on fait la fête toutes les deux. Alors on avait décidé de rester chez moi. Qu'est-ce qu'on allait bien pouvoir créer comme problèmes en restant dans mon appart. « Mo-mo-morrue, viens .. on va en boîte .. deux canons comme nous, ça ne reste pas dans des cages .. on va se trémousser .. ouais dehors, on va se trémousser. » Il pouvait arriver qu'on veuille partir. J'ai une idée en tête, et apparemment, je ne suis pas prête de lâcher l'affaire. Je suis maquillée comme une pute. Je crois que j'ai dix centimètres de peinture sur la gueule. Si j'étais sobre, je giflerais moi-même tellement que je me fais pitié. « Même en trans j'suis trop bonne. » Je m'arrête devant un miroir, et me contemple. J'ai une fausse moustache collée sous le pif. Dans ma culotte, j'ai mis des chaussettes. Sur mes hauts talons, je me sens presque homme, enfin… chose. Jamais je n'aurai cru que j'allais faire ce bizutage. Me faire passer pour un trans .. mais c'est quoi cette idée à la con ? J'ai la tronche d'un mec qui est désespéré de son corps ? Il est fou ma parole ! Comme si j'avais besoin de ça pour exister. On veut vraiment me pousser à bout. Je le fais parce que je suis morte comme un poisson pané. Je m'empare d'une bouteille, et chope mon amie par le bras, et sors de chez-moi. « Promis-tu me donnes des boobs quand tu te feras opérer ? J'veux les garder en souvenir. » Sur le moment, je suis sérieuse, mais je sais que c'est un bizutage qu'elle passe elle aussi. Trans, nous deux ? La bonne à faire. On marche dans la rue, on se fait siffler. Je sors mon doigt de tueur. J'ai toujours ce réflexe. On arrive a l'entrée de la boîte. Le videur me regarde d'une drôle de façon. Soit je suis crédible, soit il me prend pour une conne. Les deux sont totalement possibles. « Tu veux la carte de mon chirurgien ? » Lui dis-je en me tenant droit, et en faisant de beaux yeux. Non, il s'en fout, il me laisse passer, mais avec un peu de dégoût. Je crois que ma petite blague ne lui plaît pas du tout. Je rentre avec Sofia, et la musique se fait déjà entendre. Mes pieds partent déjà en furies. Ils bougent sans que je leur en donne l'autorisation. Ma tête suit, elle aussi. Je ne suis même pas encore déshabillée, que je suis déjà en trans. En trans dans les deux termes. J'enlève mon manteau, et le balance dans un coin. Jm'en fou ce n'est pas le mien. Je danse, je tourne. Je m'arrête tellement que ça secoue dans le grenier. Je cligne des yeux, et sens une main se poser sur mon ventre, et un corps se coller un mien. OK, y a un cornichon près de mon cul. Là, je ne suis pas vraiment au top de ma forme, alors il va prier, et dégager vite fait, bien fait. Je me tourne, et approche mon visage de sa tête. « T'aimes les bites, j'espère ? » Je lui fais un sourire, et en un rien de temps, il se casse. « Sofia .. toi tu m'aimes comme je suis, hein ? » Vu ma gueule, je doute qu'elle dise oui.
Ma pauvre Sofia t'est totalement défoncée là assis sur le sol en train de rire comme une gogole qui vient de se casser la gueule. Tu as l'impression d'avoir bu une bouteille de vodka entière dans ta soirée. Et c'est peut-être le cas, en fait. Il est environ, enfaîtes-tu ne sais pas quelle heure il est et tu t'en fous un peu. Tu n'aimes pas boire autant, mais là, c'était particulier, c'était l'anniversaire de Charlotte où Charlie, tu ne sais plus trop comme l'appeler à ce moment précis. « Mo-mo-morrue, viens ... On va en boîte ... Deux canons comme nous, ça ne reste pas dans des cages ... On va se trémousser ... Ouais dehors, on va se trémousser"Ta tête était en compote mais tu ne put t'empêcher de sourire à l'annonce de cette idée après tout c'est son anniversaire autant en profiter un maximum puis Charlotte ses baladant en trans tu ne pouvais pas laisser passer ça. "Je suis d'accord, on est bien trop belle pour rester ici" Tu te levas d'un coup enfaîtes, tu te levas même trop rapidement que tes fesses n'ont pas eu le temps de suivre du coup, tu serais tombé encore une fois à croire que tes fesses et le sol partageaient une relation intime.Enfin une fois debout, tu regardes la tronche de ton amie déguisée en transe "Tu sais que je te trouve plus sexy en trans qu'en femme" Tu lui fis un clin d'œil avant d'exploser de rire ouais tu étais vraiment pétée.À vrai dire, c'est à ce moment-là que tu te dis qu'heureusement toi, c'était juste envoyer des SMS et pas de déguiser en transe, car c'est sûr que tu ne l'aurais pas fait. Tu suis Charlotte pour vous diriger vers la boîte." C'est avec plaisir que je te laisserais mes boobs ou au pire, on peut même transfère la graisse de mes fesses sur tes seins . " Putain qu'est-ce que tu ne sortais pas comme connerie faut dire que tu n'as jamais bien tenu l'alcool encore moins en présence de Charlotte entre un trans et une débile mentale bourrée cette soirée promettre. Le plus étonnant, c'est que même en trans Charlie arrivait à être bonne et ce n'est pas les pervers qui l'ont maté quand on passait qui diront le contraire. La musique, l'odeur de l'alcool les mecs tout ça en même temps ta tête ne fit qu'un tour, une fois rentré, s'était fini, on avait lâché Charlotte qui pour le coup était vraiment en trans et toi, c'était la même.Vous étiez toutes les deux biens éclatés et pourtant cette soirée d'anniversaire vient juste de commencer. Pris au rythme de la musique tu te mises à danser regardant ton amie rembarré un mec avec classe bah oui, tu aimes les bites, c'est plutôt classe et efficace. «Sofia ... Toi, tu m'aimes comme je suis, hein ? »Tu la regardais et sur un moment de lucidité, tu te dis qu'elle avait l'air bien conne comme ça. "Mais oui, je t'aime comme ça puis même avec un poulpe sur la tête, je t'aimerais. " Oh que c'est mignon du Morrue Hugo tout craché. " C'est fou morue même déguisée en actrice de X trans, tu attires les regards. " La joie des bizutages, qu'est qu'on ne ferait pas pour être des tower.