Comme une crêpe. (ft Zélie)

Arrivé le : 14/01/2016

C'est cool, on est le week-end et il ne voulait rien demander de plus au monde, seulement prendre l'air comme à son habitude, c'est comma ça, il est comme ça et c'est tout. Toujours à vouloir se divertir dans le but de garder espoir, de bouger, de s'entretenir malgré sa condition physique depuis plus de six ans maintenant, ses béquilles, son atèle c'est une longue histoire qui ne se terminera jamais, mais il faut essayer de relativiser c'est le meilleur moyen, le meilleur médicament d'ailleurs. (si, si je vous assure chers lecteurs.)Quoi qu'il en soit, aujourd'hui est un nouveau jour, certainement meilleur qu'hier et encore mieux que demain, quoiqu'on en sache strictement rien et on s'en fiche littéralement, ce qui l'apportait le plus à ce petit Nathan était de se rendre dans ce parc prés du lac qu'il connaissait assez, oui. Il le visitait au moins deux, trois fois par semaine alors il savait à quoi s'attendre. Cette verdure; les animaux, les gens avec leur chien tenu en laisse, tout ça quoi. Mais ce qu'il détestait le plus dans la vie, les transports en commun. C'est dingue comme le fait de savoir qu'il allait entrer dans un bus ou un train il se faisait des frayeurs et se faisait remarquer alors qu'il demanderait pour rien au moindre de passer pour un tout petit, mais avec ses machins en ferrailles qu'il lui emprisonne les deux coudes de chaque côté, son attèle lui prenant la moitié du genou, il ne pouvait passer inaperçu envers les personnes présente dans le car. Oui, d'ailleurs c'est ce qu'il se passe actuellement. Il ne supportait pas ça, un gamin le pointait du doigt, un vieux en fauteuil roulant le regardait d'un air abattu comme pour dire " ta vie est fichu mec, je comprends" une sorte de compatie en fait, mais encore heureux qu'il ne soit pas à la place de ce vieil homme peut-être handicapé ou utilise ce moyen de déplacement pour la seule et unique raison d'être fatigué car oui, les fauteuils qui roules servent à ça aussi. BREF, il voulait surtout se divertir durant le trajet mais il finit par fixer le sol dans le but de ne relooker personne, de se faire petit mais voila c'est toujours compliqué surtout qu'aujourd'hui Nathan était tout au fond du Bus donc il devait traverser la moitié du chemin afin de sortir...( Ah oui non mais ça va très loin son complexe. Quoiqu'il ait seulement des béquilles et une attèle, cela représente qu'une boutade mais PAS POUR LUI !). Le bus arrêté enfin, il s'empesât de sortir, il était mal à l'aise, il se sentait observer de tout recoin c'était vraiment gênant et mal poli aussi mais Nathan ne disait rien, le jeune brun voulait à tout pris descendre mais il restait les marches à franchir, d'habitude il arrivait à contrôler la descente et la distance pour sortir mais à cet instant, ses bras tremblaient, il devenait moite comme stressé. Ça y 'est, les deux bouts de béquilles posées sur la dernière marche prête à s'aventurer, il ne sait comment, il ne sait pourquoi mais c'est la chute. Heureusement, c'est la tête qui avait tout pris puis le brun se fichait de saigner du nez du moment qu'il n'avait rien eu à sa jambe, mais bon Dieu ... LA HONTE. Puis le chauffeur qui se retenait de rire c'était pitoyable. Encore à plat ventre en direction du sol, il pouvait entendre les éclats de rire des gamins à l'intérieur du car....

Arrivé le : 21/12/2015

Juste besoin de prendre l'air, de partir loin du bruit de new-york, loin des gens qui marchent la tête baissée et les yeux tristes, loin des hommes en costard cravate qui parlent trop fort au téléphone, loin des femmes aux talons haut à la fierté trop grosse et au menton trop haut.
Je suis dans le bus, coincée entre une petite vieille et un gosse qui mâche inlassablement un chewing-gum en faisant à mon goût trop de bruit. Trop de gens, trop de bruit et pas assez de place. Bientôt, je sortirai, mais le temps semble passer au ralentit, et le trajet s'éternise, dure, encore et encore. Je sors mon portable de ma poche et jette un coup d'œil à l'écran. 15:30. Je soupire discrètement, le range et passe dans mes cheveux roux une main tremblante. Je joue pendant de longues minutes avec une mèche de cheveux. Le bus ralentit avant de s'arrêter pour de bon. Encore un arrêt. Les gens se bousculent, tentant tant bien que mal de sortir du bus. Je suis à quelques pas de la porte. Un garçon à béquilles passe devant moi, manquant à plusieurs fois de s'étaler de tout son long. C'est plus fort que moi. Alors que je m'apprête à tendre le bras pour l'aider à descendre du bus, les marches sont fatales à son équilibre. Il s'étale sur le bitume, à l'entrée du bus. J'entends autour de moi des ricanements et lève les yeux au ciel. Bande d'abrutis. Je me précipite hors du bus pour l'aider. Je tends la main vers le sol pour l'aider à se relever. « Tout va bien, vous ne vous êtes pas blessé ? » Plus que vous ne l'êtes déjà, bien sûr.. Il saigne du nez mais ne semble pas s'en préoccuper plus que ça. Je sors un paquet de mouchoirs de la poche de ma veste et lui en tend un, avant d'engouffrer mes mains dans mes poches. J'entends les portes se fermer, le moteur s'allumer et le bus repartir. Je hausse les épaules. Tant pis, c'est pas si mal, ici non plus. J'adresse au jeune homme un sourire qui se veut rassurant et baisse les yeux au sol. Je mords l'intérieur de mes joues. Déjà, je sens mes joues pâles et glacées se rosir. C'est toi qui lui es venue en aide, Zélie, alors ne vas pas te plaindre d'être gênée.

Arrivé le : 14/01/2016

Prêt à se retourner, le jeune Bellamy fit entendre une voix quelque peu rassurante, c'était une voix appartenant à une fille alors qu'il se retournait à présent il s'agissait donc évidemment bien d'une petite minette, c'est une fille qui est venu l'aider et même pas un mec, c'est juste incroyable les gens parfois la pauvre, elle descend du bus, elle me propose de l'aide, me demande si je n'ai rien d'autre de casser, elle prend la peine de porter une certaine attention envers moi et je ne peux vraiment la remercier pensait-il aussitôt, toujours aussi honteux de s'être planté devant la route comme un idiot...Citer "merci" la jeune demoiselle c'est nul et ça sert à rien mais Nathan s'empressât de relever la tête afin de lui adresser un doux regard qui en valait tant, de plus. La jeune lui tendit la main, enfin elle la replongeât très vite pour prendre un mouchoir, sans doute pour son nez. "Tout va bien, vous ne vous êtes pas blessé ?" avait-elle dit donc. Nathan la remercia d'un sourire pour le mouchoir et s'essuya aussitôt les gouttes de sang qui coulaient, heureusement ce n'était vraiment rien, juste un petit bobo comme on dirait. Ça va, ce n'est pas comme-ci c'était la première fois annonçât-il, car oui. Ce n'est vraiment pas la première fois qu'il se fichait la honte en chutant... C'est comme un rituel en fait... . Puis il rangeât ce fameux mouchoir accompagné de quelques tâches mais il était encore bien propre pour servir à nouveau le jeune reposât son regard en direction de son interlocutrice très mignonne d'ailleurs, elle a une bonne bouille. La pauvre, Nathan devait lui demander encore un petit service, vu qu'elle est présente, autant demander de l'aide non ? Est-ce que ça te dérangerais de me donner mes... pour que je puisse me relever?...oui, les béquille Nathan... disait sa voix glaciale intérieure. Il en a honte mais elle semblait comprendre tout de même ce qu'il voulait dire et il enchaînât lorsqu'elle avait haussé les épaules. Je, mince quel con. Je t'ai fait louper le bus? Pard... non, ce mot ne sert a rien le mal est déjà fait. Estime-toi heureux qu'elle soit venu prés de toi annonça sa voix antérieur.

Arrivé le : 21/12/2015

il baisse les yeux et bafouille, gêné. on n'est pas dans la merde, en étant deux à pas être capables d'aligner trois mots sans avoir envie de disparaitre sous terre, faut bien avouer qu'on risque pas d'aller bien loin. allez zélie, ravale ta timidité l'temps de quelques instants, ça fera de mal à personne. une fois n'est pas coutume après tout. « oui.. oui, bien sûr. » tu peux pas faire mieux que ça ? t'as pas beaucoup d'ambition dans la vie, ma p'tite zélie. je me baisse pour empoigner ses béquilles et les lui tends. je lui tends la main, l'aidant à se relever, puis lui adresse un léger sourire qui se veut rassurant.
une fois qu'il est de nouveau sur pieds, je lui dis d'un ton enjoué « c'est pas grave va, je.. je n'allais pas beaucoup plus loin. puis ici, c'est, c'est bien aussi. » c'est sûr qu'après tout, ça aurait tellement été dans tes habitudes que de péter un câble parce que bordel mec, j'ai loupé le bus à cause de toi, tu fais chier ! vraiment mon genre oui, on y croit tous.
après quelques instants de silence, je me décide. ça m'arrive oui, ça m'arrive de laisser de côté mon indécision. « j'm'appelle zélie. » c'est mieux que rien, n'est-ce pas ? le tout prononcé avec un joli sourire jovial comme il n'y en a pas affiché sur le visage, ça devrait passer, vous croyez pas ? la gêne est encore bien présente, mais c'est déjà ça de fait... ouais, essaie de te convaincre zélie, essaie de te convaincre. dommage que les gens ne soient pas aussi cons que toi quoi. ça se voit à dix kilomètres à la ronde, qu't'es incapable de construire une phrase sans bafouiller ni rougir. le déni j'vous dis, le déni.

Arrivé le : 14/01/2016

Puis cette fille, il ne devait pas s'en méfier. Elle semblait être tout aussi gêné que lui a cet instant, tellement renfermé et petit qu'elle réussit à le mettre quelque peu à l'aise et lui avait facilité à reprendre doucement ses émotions, un rien pour le chambouler ce petit bout de chou pas vrai? Quoi qu'il en soit, la demoiselle allât immédiatement récupérer les béquilles du jeune homme lorsqu'il les avait égaré, c'est avec un beau sourire en coin et rassurant à son tour qu'il la remercie bien évidemment, d'ailleurs. Cette fille-là se pressât même de lui faire part de son prénom, une certaine Zelie, Nathan lui se redressa tant bien que mal dans le but de se remettre debout, pour se présenter correctement à son regard, poliment. Elle aussi méritait de connaître son prénom, de toute façon ya rien de mieux a faire à cet instant, autant tuer le temps. Lui qui voulait seulement souffler et prendre l'air , c'est parfait contrairement à la fameuse Zelie qui avait probablement une meilleure occupation que de papoter avec un infirme en béquille. Nathan, pour ma part. disait-il plaçant ses béquilles dans une main dans le but d'en avoir une livre pour le lui tendre dans l'unique raison de serrer la sienne. Tu, je le pauvre c'est reparti il ne trouvait plus ses mots mais pourquoi c'est dingue, c'est qu'une fille elle ne va pas le bouffer. Tu voulais traîner quelque part?, tu aimes te balader aussi? lui demandait-il également.

Arrivé le : 21/12/2015

je le vois se détendre un peu. pourtant, je suis définitivement pas des plus sociables, ni des plus joviales ou tout ce que vous voulez en fait. j'suis zélie, zélie qui en voulant rassurer met plus mal à l'aise qu'autre chose. ou qui fait rire de part sa timidité, tout dépend de qui se trouve en face. toujours est-il que ça m'arrange bien, j'aurais pas voulu avoir à me creuser le crâne pour trouver quoi dire, quoi faire pour le mettre ne serait-ce qu'un peu plus à l'aise.
« oh, euh.. disons que j'vis à new-york, mais j'avais besoin de changer d'air, pour le coup. » ma voix est toujours hésitante, je bafouille toujours, mais il y a du progrès. enfin, je crois.. non ?
je regarde autour de moi. il y a peu de monde à cette heure ci, que quelques enfants qui jouent dans un coin, des vieux qui parlent à des pigeons, assis sur un bon. enfin, les vieux sont assis, pas les pigeons, évidemment. il fait encore frais et j'enfonce mes mains froides dans mes poches, reposant mon regard sur nathan. je regarde les béquilles qu'il tient entre les mains. la question me brûle les lèvres. « tu t'es fait quoi ? » une simple entorse, probablement. si c'est le cas, je ne vois pas pourquoi cela le gênerait que je lui pose cette question, pas vrai ? j'aime pas tellement ça chez moi, je suis trop curieuse. j'ai beau ne pas parler beaucoup, quand je l'ouvre, c'est souvent pour faire des gaffes, pour passer pour un boulet aux yeux de tout le monde. c'est en partie pour ça que j'la ferme en public. et c'est aussi pour ça que j'préfère parler toute seule. mais ça m'attire souvent des ennuis, avec tous les connards qui peuvent courir les rues, de vouloir aider tout le monde, de vouloir tendre ma main à qui veut bien la choper. mais c'est plus fort que moi, même quand ça me regarde pas, même quand ça m'empêcherait pas particulièrement de dormir sur mes deux oreilles le soir venu. évidemment, tout le monde n'est pas de cet avis. mais je vois pas pourquoi ce gars là serait tout le monde, après tout. j'espère pas du moins.

Arrivé le : 14/01/2016

C'est tout de même hésitant, encore une fois qu'elle reprit la parole lorsque Nathan fit debout d'une bonne position, correctement et la vie reprenait le dessus, oublions cet accident, même si ceci paraît qu'une boutade, c'était quand même la honte pour le jeune Bellamy, heureusement que cette Zelie était présente pour l'aider, ne serait-ce lui parler. Un rien l'encourageait mais seul, c'est toujours plus compliqué, hors à cet instant précis il n'y a plus vraiment de problèmes et ils arrivèrent même à entamer une petite discutait, de tout et de rien. La discutions banale quoi, connaissance et tout le Bordel, bah quoi? Elle n'allait pas se casser comme ça, sans rien dire quand même? et Nathan aurait fait exactement la même chose puis parler c'est très bon pour la santé, pour le muscle de la langue, car oui. Quand on parle beaucoup, on perd du poids! C'est prouvé. Bon, la demoiselle reprit ses mots encore un peu perplexe. C'est une Nouilleuorkeuse en déduisait-il, la jeune vit donc à New York, y a pas mieux comme ville et puis elle aussi voulait se changer les idées d'après ce qu'elle venait de le lui avouer il y a quelques secondes. Zelie se contenta d'un léger sourire provenant du petit Bellamy tout mignon craquant, comme pour compatir dès lorsqu'elle reprit la parole rapidement, sa jambe, sa blessure. Pour le lui demander ce qu'il s'était arrivé, comment-ci, comment ça et c'est tout à fait normal qu'elle demande, Nathan lui doit bien une petite explication puis maintenant, il n'a plus vraiment de difficulté à en parler bien au contraire, ça lui fait même du bien de parler de sa chute... À quelqu'un qui peut comprendre et qui se fichera pas de sa gueule, voyez-vous. En faites, j'ai, je suis tombé d'une falaise il y a six ans et... Enfin voilà dit-il le regard viré au sol avant de relever la tête. Et, j'ai hérité de ses belles machines ferrailleuse désignant ses béquilles du regard et de la demoiselle d'atèle annonçât-il en se marrant un peu nerveusement. Autant relativisé et détendue l'atmosphère. Et toi ? demande-il par la suite, il est con ou quoi? C'est le stressé, la pauvre elle ne doit rien comprendre et probablement entrain de se dire qu'est-ce qu'elle fou avec un mec comme ça, Nathan enchaînât essayant de reprendre la fin de ses mots, complètement illogique. Et toi, enfin... tu as des passions ? pouffait-il gêner, humilier qu'il devient tout rouge, c'est qu'une fille bon dieu, c'est dingue cette perte de crédibilité.

Arrivé le : 21/12/2015

évidemment. évidemment, fallait que cela ne soit pas qu'une simple entorse. fallait que je fasse encore une de mes gaffes bien trop courantes à mon goût. je vous jure, j'en viens à en avoir envie de m'auto baffer, parfois. vous avouerez que c'est quand même étonnant, que je réussisse autant à foutre les gens mal à l'aise, à autant r'muer le couteau dans la plaie des souffrances. et pourtant, moi, blesser les gens, je déteste ça. je suis pas une de ces sadiques qui se plaisent à déceler chez les gens les points faibles. moi je suis plutôt du genre excessivement compatissante et désolée, plutôt du genre à m'excuser cent fois pour tout et pour n'importe quoi.
« oh, j'suis désolée, je voulais pas... » tu voulais pas paraitre indiscrète, peut-être ? si c'était pas le cas, est-ce que t'aurais posé cette foutue question, zélie ? pour une fois que tu l'ouvres, fallait en plus que ce soit pour dire une connerie, bravo zélie, bravo, t'as gagné le prix d'la plus grosse idiote dans toutes les USA, si c'est pas touchant tout ça.
je baisse les yeux et passe ma main dans mes cheveux roux, visiblement trop gênée pour finir ma phrase. la faute à qui, idiote ? dans un élan de génie, je me dis qu'il serait préférable de changer de sujet. si c'est pas de l'intelligence ça, qu'on m'explique. « des passions ? ah euh, non, pas vraiment. j'suis plutôt du genre à rester cloitrée entre les quatre murs de mon appart, à vrai dire. » lui dis-je en riant doucement. c'est plus un secret pour personne ça, je suis l'associable de service, et mon cas ne risque pas de s'arranger de sitôt. à vrai dire, je préfère autant me rouler en boule dans mon plaid devant un film à l'eau de rose que de me mêler à la foule et aux fêtes tardives. mais sinon, j'ai une vie sociale, faut pas croire ! c'est juste que le cercle de mes amis est très très restreint... voir encore moins.

Arrivé le : 14/01/2016

Merde, ils ne sont pas dans la merde là, les deux gogoles ont regardé par terre, on dirait qu'on est complètement coincé, ce n'est pas qu'une illusion s'est dingue ce qu'on peut être débile parfois, pour un rien. C'est juste une fille qui me parle, je suis un pauvre garçon qui parle à une fille, y a quoi de dramatique et grave dans cette situation franchement ? non, sérieux faut vraiment se décoincer, la pauvre elle semble être autant mal à l'aise que lui lorsqu'elle lui avait demandé pourquoi était-il dans cet état, bon ce n'est pas comme si c'était tout frais, son accident date depuis deux mille dix donc bons, faut passé a autre chose, elle voulait savoir et c'est entièrement normal, Nathan leva donc ses pupilles en direction des sienne, de la belle rouquine, essayant de la distraire et de le lui faire comprendre que ce n'était rien, ce n'est pas grave, tu sais... J'ai l'habitude et n'est pas comme-ci ça datait d'une semaine donc t'en fait pas, et ça me fait du bien d'en parler aussi... Bon ok, là il devient bavard mais que voulez-vous, quand il est parti dans ses phrases après il faut être à je ne sais combien pour le ramener dans le monde réel, lui tout le monde il est beau et est gentil donc parfois, enfin bon. Il est heureux en fait devant cette Zelie alors qu'il y a cinq minutes il ne contrôlait plus aucune émotion, vraiment Illogique ce Nathan, sans blague. Puis la demoiselle se confiait elle aussi, un petit peu. En fait, ce qu'elle disait le représentait presque, il est exactement pareil a vouloir rien faire mais c'est sa condition physique qu'il l'oblige à sortir un peu pour ne pas risquer d'autres problèmes de santé. Oh, si tu savais, moi non plus je ne cours pas aux soirées dansantes et tout le bordel, ça ne sert à rien. C'est bien mieux de traîner dans la nature, tu ne trouves pas? demandait-il, et puis tu travailles dans quoi? puis son regard virât a la recherche d'un band ou quelque chose pour se poser, la douleur commence déjà a monté, mais il reste discret enfin c'est ce qu'il essaye de faire en tout cas.

» Comme quoi les gens peuvent être plus faibles que ce que l'on pense... - Zélie
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